Les premiers essais se révèlent concluants, même si l'avion n'évolue pas aussi lentement que prévu. Ce qui explique l'atterrissage un peu forcé. Nous débuterons de nouveaux essais dans un lieu plus grand prochainement.
Nous avons malheureusement cumulé les séries noires... Peut-être que faire voler un avion utilisé par les pilotes américains lors de la bataille du Pacifique un jour avant le D-Day n'était pas une bonne idée.
Bref, suite à un problème d’électronique couramment appelé : Top Radio.
Les gouvernes se sont mises à faire ce que bon leur semble, ce qui a conduit l'avion dans un piqué-vrillé mortel.
La chronologie fut la suivante :
- Départ inexpliqué de tonneau vers la gauche
- Récupération du modèle en palier
- 2nd tonneau vers la gauche à une altitude trop basse pour espérer une récupération
La raison de ce Top Radio est encore en investigation, nous soupçonnons 2 causes principales
- Un récepteur défectueux
- Une mauvaise Compatibilité ElectroMagnétique de la part de nos servomoteurs
Il est en tout cas crucial de tirer les enseignements de ce crash pour éviter que des crashs aussi "absurdes" qu'imprévisibles se reproduisent !
Lors d'un vol, nous avons pu constater que les ailes du kit que nous avions acheté n'étaient pas correctement dimensionnées. Il s'est avéré que ces dernières se sont brisées au cours d'un vol, ce qui a conduit au crash de l'avion. Forcement, avec une demi-aile en moins, ça vole moins bien !
Résultat des courses :
- Une cellule moteur détruite
- Une aile en 2 morceaux
A noter que notre précédente réparation sur le train d’atterrissage et l'empennage a tenu le choc !
Nous revoilà à la piste de décollage ! Notre condor attend son vol afin d'affiner les différents réglages de trim et d'exponentielle.
Lors du dernier vol, nous avons remarqué que les gouvernes de profondeur et de dérives n'étaient pas suffisantes pour manœuvrer l'avion à basse vitesse, nous avons donc augmenté leur surface.
On remarquera par ailleurs que les ailerons ont aussi besoin d'être modifiés car leur surface n'est pas suffisante pour manœuvrer à basse vitesse.
La fusée est en attente de recevoir sa "ventouse magnétique" pilotée par un arduino. De longues heures de programmation en perspective !
Pour les avions, nous sommes en attente de nos 2 futurs petits... Le Gecko qui est un avion de voltige en dépron, ainsi que le F4U, un Warbird qui condensera tout ce qu'on peut rêver sur un avion de modélisme (mis à part un turbo-réacteur).
Mais nous n'oublions pas notre Condor ! Il est en attente de son tout nouveau moteur électrique ! Son support n'attend que lui :
Et nous gardons son ancien moteur (moteur thermique) pour un prochain avion !
L’imprimante 3D fait sa révolution dans nos locaux !
Cette machine permet de réaliser des pièces en plastique (ABS/PLA) de toutes les formes possibles, ou presque ! Ce genre de machine fonctionne sur le principe suivant : déposer couche par couche un filament de plastique qui constituera la pièce finale. Le plus grand intérêt de ce genre de machine est la possibilité d’obtenir des pièces très rapidement—délai < 24h pour les pièces les plus complexes comme montré ci-dessous. De plus, contrairement à l’usinage conventionnel, il est possible d’optimiser la quantité de matière utilisée en diminuant la densité de remplissage au sein de la pièce plastique. Ce que l’on peut observer sur la photo ci-dessous, on créait une structure en nids d’abeilles pour alléger la pièce tout en conservant une certaine rigidité.
En bref, une petite révolution est en marche… avec l’espoir de pouvoir fabriquer nos désirs les plus fous !